Chaque civilisation, chaque peuple, chaque nation a une histoire, un passé qu’il soit douloureux ou victorieux. Ces histoires font la particularité du peuple. On raconte par exemple dans certains pays que le respect et la notoriété dont ils sont porteurs sont la preuve de leur ardeur et bravoure. La grande Bretagne n’est pas restée en marge à cela puisqu’elle aussi a une légende jugée primordiale à connaître. Le 17 octobre 1720 est une période pas comme les autres, elle raconte un passage important de la grande Bretagne.
Une histoire à retenir absolument
La mort de Louis XVI en 1715 a marqué une période assez difficile où elle fut exposée à une domination de la régence, actuel gouverneur du pays. Celui-ci voulant imposer son hégémonie a exigé certains présents. En ces temps, Montesquieu, qui n’était que le gouverneur de la Bretagne a alors pris des décisions de disloquer des états qui ne voulaient pas se plier à la volonté de l’autorité. Un peuple, frustré, plein de dépit et capable du pire. Des manifestations ont engendré de réaction de la part du peuple incité. Il s’agit notamment de Pontcallec, de Couïdec, de Montlouis et bien d’autres. Suite à cette période de turbulence, certains condamnés ont été lavés de leur peine et mis en liberté. Ce qui a apaisé tout le monde pour la noble action posée par le régent.
Quand on parle de fermeture, il faut envisager l’ouverture également. Au préalable, d’Estrées pris place à Nantes pour pouvoir mieux agir et éviter les surprises. Il a accueilli à bras ouverts tous ceux qui ont fait les frais de l’exil et l’amnistie sous Montesquieu. Mais toute cette gentillesse et cette complaisance cachait un plan très bien prévu et efficace pour avoir la façade. Trois cent années déjà que les états de Bretagne à Ancenis ont été ouverts.
